vendredi 3 février 2023
  • Nous contacter
S'inscrire
No Result
View All Result
  • Politique
  • Société
  • Santé
  • Environnement
  • Économie
  • Marseille
  • Monde
  • Europe
  • Culture
  • Sport
  • Style
  • Politique
  • Société
  • Santé
  • Environnement
  • Économie
  • Marseille
  • Monde
  • Europe
  • Culture
  • Sport
  • Style
No Result
View All Result
No Result
View All Result
  • Politique
  • Société
  • Santé
  • Environnement
  • Économie
  • Marseille
  • Monde
  • Europe
  • Culture
  • Sport
  • Style

Tory Burch en glamour des années 1990, Gabriela Hearst solaire et politique

La rédaction by La rédaction
15 septembre 2022
Reading Time: 5 mins read
0

Glamour d’un côté, politique de l’autre, Tory Burch et Gabriela Hearst ont présenté deux visions de la mode lors du quatrième jour de la Fashion Week de New York.

Tory Burch en glamour chic

L’américaine Tory Burch a offert à New York un millésime qui se situait volontairement loin de ses bases, elle qui a habitué la Fashion Week aux imprimés, aux couleurs vives, au goût pour l’extérieur.

« Les collections sont plus personnelles pour moi maintenant que je ne gère plus la maison », a-t-elle expliqué après le défilé, au bord de l’Hudson. Depuis 2019, la créatrice a en effet confié cette fonction à son époux, Pierre-Yves Roussel.

Pour cette déclinaison printemps/été 2023, « j’ai repensé à mon arrivée à New York dans les années 90 », a-t-elle raconté, pour mettre en avant « le concept de richesse et de minimalisme » à la fois.

Tory Burch a abattu la carte glamour, avec des hauts en coton transparents, des soutiens-gorge en dentelle, elle aussi transparente, et des chaussures argentées, qui rappelaient le mélange d’épure, de sophistication et d’érotisme en vogue au début de la décennie 1990.

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Tory Burch (@toryburch)

« Je pense que c’est un peu plus sexy que ce que nous avons fait par le passé », a déclaré la néo New-Yorkaise. « Et je pense que c’est comme ça que les femmes veulent s’habiller aujourd’hui, mais avec une certaine élégance. »

Elle a expliqué aussi avoir prolongé l’expérimentation de la collection précédente en reprenant des superpositions, avec un bandeau/jupe en jersey comme élément récurrent, porté sur un pantalon ou une jupe.

« Je voulais nous mettre au défi, nous pousser un peu plus loin et aussi avoir un point de vue plus resserré », a détaillé la designer, qui s’est appuyée sur des couleurs plus sobres qu’à l’ordinaire.

Gabriela Hearst, solaire et politique

La créatrice uruguayenne avait soigné l’ambiance. Dans un décor d’entrepôt monumental aux tôles ondulées et vitres opaques, les mannequins, femmes et hommes, ont marché entre une haie de chanteuses gospel.

Le défilé était solaire, avec un doré prépondérant, parfois solitaire comme sur un manteau cape, parfois marié au blanc et au noir.

Certaines pièces semblaient comme directement moulées sur les corps, les poitrines notamment. Du cuir de vachette « trempé dans l’eau puis drapé sur une forme pour créer chaque pièce individuelle », explique la note de collection.

Longs ponchos jaune ou orange, cousus à la main en Uruguay, ou ensemble veste-pantalon rouge, les couleurs rappelaient souvent celles du feu.

Pour cette collection printemps-été 2023, Gabriela Hearst, avec qui la politique n’est jamais loin, s’est inspirée de la poétesse grecque de l’Antiquité Sappho, dont elle loue le féminisme.

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Gabriela Hearst (@gabrielahearst)

Le gospel « This Joy », de Shirley Caesar, était interprété par le Resistance Revival Chorus, présenté comme « un collectif de femmes et de chanteurs non-binaires (…) qui aborde la question de la marginalisation historique des femmes dans l’industrie musicale ».

Et sur le podium ont défilé les activistes Cecile Richards, militante pour le droit à l’avortement, Xiye Bastida, militante mexico-chilienne pour le climat, et Lauren Wasser, mannequin aux jambes amputées qui marche grâce à des prothèses.

Enfin, Gabriela Hearst, qui est également directrice de la création chez Chloé, s’est engagée à compenser les émissions carbone de son défilé.

TweetShareSendSend
La rédaction

La rédaction

Média engagé pour la liberté de la presse. Notre métier ? Enquêter, révéler, informer pour un journalisme libre et exigeant - redaction@quotidien-libre.fr

Sur le même thème

Chanel : bestiaire et Couture ne font pas forcément bon ménage
Mode

Chanel : bestiaire et Couture ne font pas forcément bon ménage

by Clara Ferreira, journaliste
24/01/2023
3.9k
Joséphine Baker et les Années folles célébrées chez Dior
Mode

Joséphine Baker et les Années folles célébrées chez Dior

by Clara Ferreira, journaliste
23/01/2023
3.9k

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Notre ambition

La rédaction de Quotidien Libre est à votre service avec ses journalistes et ses correspondants. Notre métier ? Enquêter, révéler, informer pour un journalisme libre et exigeant.

Suivez-nous

Liens utiles

  • À propos
  • Charte de modération
  • Charte de déontologie 
  • Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique
  • Mentions légales
  • Investir dans Quotidien Libre
  • Nous contacter

Quotidien Libre | Assemblée nationale

Consultez les articles de la rubrique Assemblée nationale, suivez les informations en temps réel et accédez à nos analyses.

© 2013 QL - Quotidien Libre I média d'informations généralistes - Tous droits réservés

No Result
View All Result
  • Politique
  • Société
  • Santé
  • Environnement
  • Économie
  • Marseille
  • Monde
  • Europe
  • Culture
  • Sport
  • Style

© 2013 QL - Quotidien Libre I média d'informations généralistes - Tous droits réservés

Welcome Back!

Login to your account below

Forgotten Password?

Retrieve your password

Please enter your username or email address to reset your password.

Log In

Add New Playlist