Le Daily Mail raconte que la duchesse de Sussex aurait peut-être renoncé à son titre royal pour occuper une haute fonction publique aux Etats-Unis. Une rumeur à prendre avec la plus grande des précautions.
Depuis l’interview de Meghan Markle et du prince Harry menée par Oprah Winfrey, les réactions et les rumeurs vont bon train. Entre les accusations de racisme de la duchesse de Sussex ou encore la caricature de Charlie Hebdo, l’entrevue du couple déchaîne les passions. Dimanche, Tony Blair, ancien Premier ministre britannique qui aurait des liens étroits avec Washington, prétend que Meghan Markle aurait été mise en réseau avec les hautes sphères politiques en vue de la préparation de la future campagne pour les prochaines élections présidentielles, comme le rapporte le Daily Mail. L’ex-actrice de 39 ans profiterait-elle de sa forte notoriété actuelle à des fins électorales ? Une source citée par le Daily Mail aurait déclaré : « Les réseaux des partis blairistes, internationalistes et démocrates bourdonnent de discussions sur les ambitions politiques et les soutiens potentiels de Meghan Markle. » Toujours selon cette même source, la maman d’Archie envisagerait 2024 dans le cas où Joe Biden, 82 ans, ne repartirait pas pour un second mandat.
Un rêve américain ?
En tout cas, une amie de Meghan Markle avait déjà déclaré au magazine Vanity Fair, il y a un an, que «l’une des raisons pour lesquelles elle n’a pas renoncé à sa citoyenneté américaine lorsqu’elle s’est mariée et est entrée dans la famille royale était de lui permettre de garder la possibilité d’entrer en politique à Washington». Le couple n’a pas encore réagi aux rumeurs, mais n’a pas non plus caché ses convictions politiques. En 2020, lors de l’élection qui opposait Joe Biden à Donald Trump, Meghan et Harry avaient exhorté les électeurs à « rejeter le discours de haine » de Trump, dévoilant ainsi leur prise de position pour le camp des démocrates. Les proches et amis de Meghan Markle auraient déjà fait de nombreuses spéculations sur son éventuel destin à la Maison-Blanche, évoquant sa potentielle ascension comme « un rêve américain ».